Alts fédiverse

  • 1 Post
  • 10 Comments
Joined 3 months ago
cake
Cake day: August 25th, 2024

help-circle
  • En lecture, je retiens ces livres :

    Le collectif Notre corps, nous-mêmes s’est formé en 2016 dans le but de réactualiser le livre du même nom paru en 1977. Notre corps, nous-mêmes est un manuel de santé féministe, forgé à partir de nos expériences et des paroles de plus de 400 femmes cisgenres, et de quelques personnes trans et non-binaires, qui ont accepté de nous confier leurs vécus, leurs analyses, leurs ressources ou stratégies pour se défendre, s’émanciper et se réapproprier leur corps.

    Ce bouquin est extrêmement riche par sa diversité des témoignages de femmes de tout âge et faits scientifiques. (Règles, ménopause, sexualité, relation…) Il est facile à lire, à tout âge pour tous et toutes. Ce collectif a fait un boulot incroyable de réédition.

    J’aimerai retrouver ce même décricottage pour la langue française. Julia démontre comment la langue anglaise efface la place des femmes et donc structure la société, façonne la pensée. Il est difficile à lire quand on a pas de base en linguistique et vous trouverez probablement pas de version française. Le bouquin sera en anglais.

    Julia PENELOPE wants to change the world. Her wise, witty and Wicked book, Speaking Freely, is a challenge to women to join her in the exhilarating task of ripping off the masters’ mind bindings and Naming the world and ourSelves. For readers who dare to trust their native intelligence and common sense, this eminently scholarly book is both readable and entertaining.

    Très dur à lire, j’en ai fait une critique ya des mois. Ya des passages d’une violence inouïe mais elle analyse très très bien les mécanismes de domination dans les couples hétéro. On devrait tous le lire au moins une fois, vers 15 ans, si ça peut sauver des vies.

    Ce bouquin est puissant. C’est un mélange d’histoire des femmes lesbiennes aux USA (vivre caché, montré, decente de police, les dynamiques butch-fem…) et d’érotisme. C’est cru mais cette manière de montrer sa sexualité est une lutte, un style de vie. Je saurais pas le décrire.

    Pas encore lu :

    Voilou







  • Pour celleux qui se demandaient d’où venait ce mot, voici un peu d’histoire :)

    “Vive les Culs brûlés”, lâche David Buono, le maire d’Olley. Sur place, personne ne sait vraiment expliquer avec certitude l’origine de ce drôle de sobriquet mais deux hypothèses existent. “Ce surnom pourrait dater de la guerre de Trente Ans, au XVII° siècle, lors de laquelle les Suédois auraient ravagé la région en mettant le feu un peu partout. Autre piste, le village était producteur d’huile au Moyen Âge, une huile de qualité médiocre qui faisait noircir le fond des lampes à huile. Autrement dit, l’huile brûlait le “cul” de la lampe”.