J’ai une affection particulière pour ce petit monde de la bande dessinée qui souffre de longue date de précarisation et de paupérisation de ses auteurs et (davantage encore) autrices.

Sans elles, sans eux, nos imaginaires seraient encore plus étiolés. La bande dessinée est un des rares modes d’expression individuelle qui permette de développer des univers et des récits à même de rivaliser avec les productions formatées des mastodontes de l’audiovisuel.

Je ne peux que vous engager à entendre leur appel.