Dans un rapport publié mardi, Générations futures interroge le corpus scientifique sur lequel se fondent les agences réglementaires européennes d’une part, et l’Inserm d’autre part, pour expertiser les effets de l’herbicide sur la santé.
« L’une des raisons de cette divergence est le fait que les agences réglementaires jugent non fiables ou non pertinentes l’écrasante majorité des études universitaires, explique Pauline Cervan, ancienne toxicologue pour l’industrie chimique, désormais chargée de mission à Générations futures. Pour l’ensemble des effets que nous avons analysés, l’Inserm s’est appuyé sur quarante-cinq études académiques, mais une seule d’entre elles a été jugée pertinente et fiable par les agences. Celles-ci considèrent en priorité les études standardisées que leur fournissent les industriels. »
Merci. C’est une stratégie observé depuis un moment que les industrielles noient les études scientifiques sérieuses sous les leurs. Plusieurs scandales ont éclaté les dernières décennies, car les organismes de agences de régulations suivaient les études scientifiques en partant du principe qu’elles étaient sérieuses.
Maintenant ils les sélectionnent, et c’est une très bonne chose.
Merci. C’est une stratégie observé depuis un moment que les industrielles noient les études scientifiques sérieuses sous les leurs. Plusieurs scandales ont éclaté les dernières décennies, car les organismes de agences de régulations suivaient les études scientifiques en partant du principe qu’elles étaient sérieuses.
Maintenant ils les sélectionnent, et c’est une très bonne chose.
Enfin si les seules études sélectionnées c’est celles des industriels c’est pas forcément une si bonne chose
Le but est de ne sélectionner que des études jugées fiables.